Délecture du Decameron

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(Dessins à l'encre et au pastel)

Après avoir « dé-lu » six nouvelles en en réécrivant les dessous et les non-dits, j'ai illustré d'un dessin chacune des quatre-vingt quatorze autres, toutes étant autant de déclinaisons du corps parlant, menteur ou véridique.

« Il m'est apparu que cette œuvre ne pouvait être lue « comme du bon pain », et qu'elle devait être déliée pour que ses poisons et ses essences soient libérés.

J'ai tiré sur le fil de maintes nouvelles pour les arracher à la gueule de Minotaure. Non content de cette longue et patiente descente, j'ai saisi à la gorge chacune des cent nouvelles, en prenant soin de serrer d'un coup, d'une crispation, pour laisser aller un dessin qui est comme la détente in extremis d'une crampe ».

Jacques Lacolley


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